Travailler son endurance

Si vous êtes un randonneur aguerri, vous n’aurez pas de grandes difficultés à vous adonner à l’alpinisme. Si ce n’est pas le cas, vous devez faire un entraînement d’endurance. Faites un programme sur deux mois avec une fréquence de deux à trois fois par semaine. Une séance d’endurance dure entre 30 et 40 minutes. On vous prévient, les premières séances ne seront pas facile, mais pensez à votre objectif : gravir les montagnes. Si vous n’êtes un sportif, commencez votre entraînement par de la marche et des séries d’escaliers pendant une semaine. Vous pouvez par la suite passer à une activité plus intense sur un parcours comprenant des dénivelés. Pour savoir si vous êtes prêt, programmez un trekking ou une randonnée de quatre à cinq heures un samedi. Si vous tenez jusqu’à la fin, c’est déjà bon signe, vous pouvez déjà choisir le mont que vous allez gravir.

Acquérir les techniques de base

Si la pratique de la randonnée pédestre ne nécessite pas de compétences particulières, ce n’est pas le cas pour l’alpinisme. Etre un grand sportif et avoir une bonne endurance ne suffisent pas. En haute montagne, les risques sont considérables si on ne connaît pas les techniques de base de cette activité. Pour réduire le risque intrinsèque, il faut apprendre entre autres les différents types de nœuds, la manière d’avancer sur la glace ou sur la neige et les techniques de sauvetage. Pour ce faire, vous pouvez commencer par vous documenter en lisant des livres. Pensez également à faire l’école de glace et à suivre des cours auprès des professionnels de l’alpinisme.

Bien s’équiper

Pour faire de l’alpinisme dans le confort et en toute sécurité, il faut se pencher sur les équipements et les accessoires utiles à la pratique de ce sport. Pour le haut et le bas, on vous conseille de porter un sous-vêtement respirant. Optez aussi pour une polaire, une doudoune compressible, une veste imperméable et respirante, un pantalon d’alpinisme, un surpantalon imperméable, des sous-gants, des gants imperméables avec doublure chaude, un bonnet et une cagoule. Notez bien que même en été, les températures dans les hauteurs peuvent être très basses. Vous devez avoir des chaussures thermiques rigides ou semi-rigides, une paire de chaussettes chaudes et respirantes, des guêtres et des crampons d’alpinisme. Sachez que vous pouvez trouver vos crampons d’alpinisme sur internet, mais également tout ce dont vous avez besoin pour ce sport. En tout cas, vous aurez besoin d’un sac à dos de 30 à 45 litres et un casque d’alpinisme. Glissez dans votre sac une lampe frontale, une paire de lunettes de glacier, un piolet classique, une paire de bâtons, un baudrier, un appareil d’assurage, un kit sécurité crevasse, de grandes sangles, des mousquetons à vis et une broche à glace. Pour compléter ces équipements, demandez conseil auprès du professionnel qui vous accompagnera. Il pourra également vous conseiller sur le type de crampons d’alpinisme à acheter.

A quoi servent ces documents ?

Saviez-vous que dès lors qu’un individu a atteint sa majorité, il devrait toujours avoir sur lui des documents permettant de l’identifier ? D’ailleurs, cela ne concerne pas uniquement les personnes majeures. Même les enfants ont pour consignes de garder dans leur sac leur carnet scolaire qui mentionne leur adresse, les noms de leurs parents, etc.
Le principal intérêt de ces documents est de permettre aux autorités de vous identifier à tout moment. Si jamais un accident devait survenir au cours de votre voyage à l’étranger, il sera possible de contacter votre ambassade ou même vos connaissances grâce aux documents que vous aurez sur vous. Aussi, ils vous permettent de bénéficier de certains services.

Quels sont ces documents ?

Le premier document qu’il faut absolument avoir sur soi à l’étranger est le passeport valide. Celui-ci atteste que vous êtes bien autorisé à être sur le territoire. Il permet aussi de vous identifier, au même titre que la carte d’identité. Carte d’identité qu’il faudra aussi toujours garder sur soi.
Après le passeport et la carte d’identité vient le permis de conduire. Dans certains cas, il peut remplacer la carte d’identité et le passeport dans un but d’identification, mais il sera surtout très utile pour tout ce qui est location ou achat de véhicule à l’étranger.
En outre, il faut aussi penser à disposer d’une attestation d’assurance voyage et d’un certificat médical. Ces derniers ne sont demandés que très rarement, mais il est préférable de les avoir pour éviter de se laisser surprendre.

Si jamais un incident devait arriver au moment du départ

Une assurance voyage offre des avantages, non seulement pendant le voyage, une fois à destination, mais aussi avant.
Si par exemple votre vol venait à être retardé ou annulé pour X raisons, l’assurance voyage vous permet de bénéficier d’un remboursement de votre billet d’avion. Toutefois, il faut que ces raisons et les conditions de retard ou d’annulation du vol soient en accord avec les clauses mentionnées dans l’assurance. D’où l’importance de bien choisir et bien lire son contrat.

Si jamais un incident devait arriver pendant le voyage

La partie la plus intéressante d’une assurance voyage concerne les clauses relatives aux incidents qui pourraient se produire pendant le voyage.
Une assurance voyage permettra avant de vous assurer contre les accidents qui pourraient impliquer un passage chez le médecin, une hospitalisation et même une évacuation sanitaire. En effet, selon le type de contrat, le fait d’avoir souscrit à une assurance voyage vous permettra de bénéficier d’une prise en charge sur les frais de consultation, d’hospitalisation ou d’évacuation sanitaire. Elle intervient même dans le cas d’un décès.
En outre, l’assurance voyage prend aussi en charge la responsabilité civile à l’étranger. Autrement dit, si jamais vous veniez à blesser quelqu’un ou endommager des biens appartenant à une tierce personne pendant votre séjour à l’étranger, l’assurance prend en charge le dédommagement de cette personne. Et si jamais la personne intente un procès, les frais d’avocat ainsi que l’avance de caution vous seront remboursés par l’assureur.

Où mettre son chat pendant un voyage ?

Les chats sont des animaux très agiles et furtifs. Ils risquent de s’enfuir s’ils ne sont pas gardés en lieux sûrs. Un chat doit ainsi être transporté dans un sac ou bien dans une cage. Mais comme c’est un animal très agile, l’idéal est de le mettre dans une cage.
Le mettre dans un sac reste une possibilité s’il n’y a pas de risque que celui-ci puisse s’échapper. Attention toutefois à ne pas attacher l’animal. Cela risquerait de le blesser.

Comment faire pour maîtriser son chat durant un voyage ?

Certains animaux paniquent et/ou deviennent agressifs lorsque nous les transportons. Avec les secousses et les bruits, ils peuvent avoir peur et essayeront de s’enfuir.
Habituer son chat à des matériels de transport est un réflexe à adopter avant de l’emmener en voyage. Un environnement qui ne lui est pas habituel peut le perturber. Il faut ainsi l’emmener en voiture de temps en temps pour qu’il se familiarise aux déplacements. Il faut aussi que le chat accepte d’entrer dans sa cage.

De quoi un chat a-t-il besoin durant un voyage ?

Comme tout être qui vit et qui respire, un chat a besoin d’attention.
La première chose à faire est de veiller à ce que le chat dispose de suffisamment de nourritures. Il se peut que là où vous allez il n’y a pas de nourritures pour chat. Dans ce cas, emportez des croquettes.
Aussi, pour que votre chat puisse s’amuser si jamais vous êtes occupé, emportez quelques-uns de ses jouets pendant le voyage.